Les Palais disparus de Napoléon, au Mobilier national (2021)

La pendule ne fut jamais livrée à Compiègne, sans doute faut-il y voir les difficultés de all fin du régne comme le moblier du boudoir dont les étoffes sont aujourdhui en Russi, non livré non plus. "après sa livrison elle était donc restée au Garde-Meuble".

La photo produite plus haut par GM est prise à Ferrières chez les Guy de Rothschild.

Que de trésors n'ont-ils possédés et ne possèdent-ils pas encore ?

après visionnage de la vidéo générale de présentation de Mansart postée page 1,
voici une vidéo complémentaire qui montre le détail des piècesdu premier consul aux Tuileries :
- La salle des gardes
- le premier salon ou salon d'attente
- Le second salon ou salon de réception
- La chambre du premier consul
- Le cabinet de Travail

https://www.lepoint.fr/culture/napoleon-dans-ses-meubles-21-09-2021-2444172_3.php

La seconde console de la paire se trouve au sénat.

merci, regroupement et dépôt idéal pour le futur espace consacré au palais de saint cloud dans les murs du musée du grand siècle.

Il ne semble pas prévu pour l’instant de dépasser les limites Grand siècle dans ce musée.

cher Lebrun, à moins que le programme n'ait évolué, je lis sur le site du conseil général

Les autres équipements
Le site accueillera des activités annexes complétant l’offre de visite :
  un musée de site sur l’histoire du Domaine national de Saint-Cloud, en lien avec le Centre des musées nationaux, gestionnaire du parc national de Saint-Cloud ;
   un restaurant ;
   des espaces locatifs privatisables.

article bien illustré de connaissances des arts :

https://www.connaissancedesarts.com/arts-expositions/art-ancien/dans-les-fabuleux-decors-des-palais-disparus-de-napoleon-au-mobilier-national-11164091/

Commandé pour le Corps Législatif au Palais Bourbon pour servir de pendant au portrait de Napoléon Ier par Ingres, 1807 ; collection Napoléon Ier.

Commandé par Napoléon et vraisemblablement achevé sous la Restauration ; payé 3000 francs sur la liste civile de Louis XVIII ; collection Louis XVIII ; mentionné magasin du Louvre dans le registre 2 DD1 (1824) ; entré à Versailles sous Louis-Philippe ; mentionné dans la salle Portraits de l’Empire (n°158), milieu, 2ème côté, aile du Midi, attiques, dans l’inventaire de 1850.

Acquis au Salon de 1812 (n°648) pour 2000 francs ; collection Napoléon Ier

Personnes représentées :
Napoléon Ier, Napoléon III, Laetitia-Joséphine Murat, marquise Pepoli, Napoléon-Louis Bonaparte, Louise-Julie-Caroline Murat, comtesse Rasponi, Lucien-Charles-Joseph-Napoléon Murat, prince de Pontecorvo.

Présenté au Salon de 1810, le tableau de Ducis montre pour la première fois un Empereur paternel, jouant avec des enfants en toute simplicité.
V. Jérémie BENOÎT, « Napoléon en privé », Histoire par l'image : http://www.histoire-image.org/etudes/napoleon-prive

Meubles et objtes d'Art provenant des collections du château de Versailles :


D'une suite de trois paires livrées en 1784 pour les appartements du Comte d'Artois au palais du Temple à Paris ; réservées en 1793, puis transportées au dépôt de l'Infantado ; sorties pour les appartements du directeur La Revellière-Lépeaux le 5 nivôse an IV (26 décembre 1795).

En 1807, une paire est remployée au palais de Saint-Cloud, dans le salon de réception de l'Impératrice ; les deux autres au palais des Tuileries, dans la chambre à coucher de l'Impératrice.

Cette paire rentre au Garde-Meuble, par les Ecuries du Carrousel, le 2 février 1831 ; au Garde-Meuble en 1833 (n° 4529) ; envoyée à Versailles le 19 mars 1835 (V 3756) ; dans l'appartement du Roi, salon des Pendules en 1840 (V 1664) et 1855 (V 1039) ; rendue à l'Administration le 21 février 1863 ; envoyée au Petit Trianon en 1867 pour être placée dans la chambre de la Reine (T 6476) ; toujours dans cette pièce en 1973 ; transférée par la suite au château de Versailles et placée dans le Cabinet doré de Marie-Antoinette après sa restauration.

Appartient à une série de quatre consoles présentes dès 1805 dans le grand salon de récéption de l'Impératrice au château de Saint-Cloud. Sur les quatre consoles qui quittèrent Saint-Cloud en 1853, une paire fut envoyée à Versailles en 1882.
Exposées aujourd'hui dans l'antichambre des Seigneurs au Grand Trianon.

D'une suite de trois exécutés en 1811-1812 par la maison Jacob-Desmalter et Cie sur les dessins de Percier et Fontaine, acceptés par Louis David et Dominique Vivant Denon, pour le grand cabinet de l'Empereur aux Tuileries (42 000 francs), et munis de dessus en porphyre rouge fournis par le Garde-Meuble (estimés à 6 000 francs) ; installés en février 1812 à l'emplacement prévu (n° 7116) puis surélevés et enrichis par Jacob en 1813 (4 350 francs) et remis en place dans le grand cabinet en décembre (n° 7711) ; restent dans la pièce devenue grand cabinet du Roi (inventaires de 1816 n° 210, de 1826 n° 200), salon de Louis XIV (TU 1110 en 1833), premier salon côté cour après la galerie de Diane (TU 609 en 1851).

Deux apparaissent en 1855 dans le salon des Tapisseries de l'appartement de l'Impératrice côté jardin (TU 640), l'autre est inventorié par bonification au Garde-Meuble en 1865 (37438) ; les deux premiers, sortis des Tuileries, rentrent par régularisation au Garde-Meuble en 1874 (49567) et les trois sont envoyés au musée de Versailles en 1882.

D'une série de seize consoles et trois meubles (VMB 13234 à VMB 132251) entrés à Versailles en 1882 (Feuille N° 5, du 31 décembre 1882), pour meubler le salon du Sacre et les salles des Gouaches. Exposés aujourd'hui dans la salle 78 au rez-de-chaussée de l'aile du Midi.